- miror
- mīror, āri, ātus sum
- tr. -
[st2]1 [-] s’étonner, être surpris de, voir avec étonnement.
[st2]2 [-] voir avec admiration, admirer.
[st2]3 [-] être épris de, se passionner pour, rechercher.
- aliquid mirari : s’étonner de qqch ; admirer qqch.
- miratur novas frondes, Virg. : (l'arbre) s'étonne de porter un feuillage nouveau.
- mirari + prop. inf. : s’étonner que, voir avec étonnement que.
- mirari quod : s’étonner que, être surpris de ce que.
- mirari si : s’étonner que, être surpris de ce que.
- mirari cur : se demander avec étonnement pourquoi.
- mirari unde (mirari quid causae quod), Cic. : se demander comment il se fait que.
- aliquem mirari : admirer qqn.
- mirari aliquem justitiae, Virg. : admirer qqn à cause de sa justice.
- mirantur umbrae utrumque dicere, Hor. : les ombres écoutent leurs chants avec admiration.
- satis mirari non possum, unde, Cic. N. D. 1, 34, 95: je me demande toujours d'où.
- miror, in illâ superbiâ et importunitate si quemquam amicum habere potuit, Cic. Lael. 15, 54 : je serais étonné qu'avec son orgueil et son humeur acariâtre il ait pu avoir un ami.
- mirari stulte sales Plautinos, Hor. : s'engouer sottement des plaisanteries de Plaute.
- mirari se, Cat. : être entiché de soi, être épris de sa personne.
- non de conditione mirari, Ter. : être in différent à sa condition.
* * *mīror, āri, ātus sum - tr. - [st2]1 [-] s’étonner, être surpris de, voir avec étonnement. [st2]2 [-] voir avec admiration, admirer. [st2]3 [-] être épris de, se passionner pour, rechercher. - aliquid mirari : s’étonner de qqch ; admirer qqch. - miratur novas frondes, Virg. : (l'arbre) s'étonne de porter un feuillage nouveau. - mirari + prop. inf. : s’étonner que, voir avec étonnement que. - mirari quod : s’étonner que, être surpris de ce que. - mirari si : s’étonner que, être surpris de ce que. - mirari cur : se demander avec étonnement pourquoi. - mirari unde (mirari quid causae quod), Cic. : se demander comment il se fait que. - aliquem mirari : admirer qqn. - mirari aliquem justitiae, Virg. : admirer qqn à cause de sa justice. - mirantur umbrae utrumque dicere, Hor. : les ombres écoutent leurs chants avec admiration. - satis mirari non possum, unde, Cic. N. D. 1, 34, 95: je me demande toujours d'où. - miror, in illâ superbiâ et importunitate si quemquam amicum habere potuit, Cic. Lael. 15, 54 : je serais étonné qu'avec son orgueil et son humeur acariâtre il ait pu avoir un ami. - mirari stulte sales Plautinos, Hor. : s'engouer sottement des plaisanteries de Plaute. - mirari se, Cat. : être entiché de soi, être épris de sa personne. - non de conditione mirari, Ter. : être in différent à sa condition.* * *Miror, miraris, miratus sum, mirari. Virgil. S'esmerveiller, et s'esbahir de quelque chose.\Mirari aliquem. Cic. L'avoir en admiration et estime, L'admirer.\Se ipse miratur. Catull. Il se plait, et se repute grand, Il est glorieux.\Mirari, Imiter. Virgil. \ - primis et te miretur ab annis. Qu'il t'ensuyve.\Miror vnde sit. Terent. Je ne scay dont il est.\Mirari se. Mart. S'estimer et priser, Estre glorieux.\Miraretur quis, quum cerneret, etc. Liu. On s'emerveilleroit.\Mirabar, hoc si sic abiret. Terent. Je m'esmerveilloye bien si, etc.
Dictionarium latinogallicum. 1552.